«Più mi dicono male e più mi va bene» canta in Fortuna. Aggiungendo: «Più gira male e più mi va bene». Dura da credere.
Eppure io ho immenso rispetto della sofferenza. Se non provi un dolore lancinante, non potrai mai capire cosa è il benessere. Se non tocchi picchi di tristezza, non potrai mai capire cos’è la serenità. O la felicità. Come se dovessimo risultare i primi della classe pure nell’evitare le spiacevolezze e nel non subire fallimenti. Proprio no: i fallimenti servono a capire quanto ancora bisogna lavorare su se stessi per portare a casa buoni risultati. Dal dolore prendo l’energia necessaria per combattere e trovare la bellezza nelle piccole cose. Più la vita mi è andata contro, più la gente mi è andata contro, più ho trovato lo stimolo per dimostrare che non hanno ragione loro, e che non ha ragione nemmeno la vita. Dopodiché, ovvio, ho avuto un’enorme dose di fortuna: non era il mio momento.
"Plus on dit de mal de moi et mieux ça va" chantez vous dans "Fortuna". Ajoutant : "Plus cela tourne mal et mieux c'est". Dur à croire.
Et pourtant j'ai un immense respect pour la souffrance. Sei tu n'éprouves pas une douleur lancinante, tu ne pourras jamais comprendre le bien être. Si tu n'as pas des moments de tristesse, tu ne pourras jamais comprendre ce qu'est la sérénité. Ou le bonheur. Comme les premiers de la classe obligés d'éviter les échecs et la chute. Justement non : les chutes servent à comprendre combien il faut encore travailler sur soi même pour ramener à la maison de bons résultats. De la douleur, je prends l'énergie nécessaire pour combattre et trouver la beauté dans les petites choses. Plus la vie m'a heurté, plus j'ai trouvé la stimulation pour démontrer que les autres n'avaient pas raison, et que même la vie n'a pas raison. Après quoi, évidemment, j'ai eu une énorme dose de chance : ce n'était pas mon heure.
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